
LE DENI GENERE DE L’EVITEMENT
Si vous souhaitez vous libérer de ce qui vous fait mal , cela nécessite de sortir de sa zone de « confort » habituelle c’est à dire d’accepter de se laisser guider pour considérer ce que vous vivez sous un nouvel angle .
En d’autres termes, il est nécessaire de faire ce que l’on n’a pas toujours envie de faire, prendre le temps de regarder de plus prêt ce que vous ressentez et ce que vous vivez. Et, de se familiariser avec la dynamique : corps , esprit , inconscient .
Plus vous avez de symptômes qui se manifestent dans le corps, plus une part de vous demande votre attention et il n’est pas toujours évident , d’avoir le bon décodage seul.
Faire cette démarche c’est faire un premier pas pour sortir de la zone de « déni » dans laquelle on peut se trouver lorsqu’on se dit par exemple, que « ce n’est pas si grave » que « cela finira bien par passer » .
Car, faire comme si la douleur n’existait pas ne l’a fait pas disparaitre, ne pas reconnaitre son existence c’est un peu comme « mettre la poussière sous le tapis », la première étape est donc de reconnaitre et d’accepter sa présence, pour faire connaissance avec elle et comprendre la direction qu’elle nous montre pour ensuite, trouver la source du problème.
En reconnaissant son existence , on arrête de se combattre soi même et donc, on diminue notre lutte ( interne) pour ne pas la voir ce qui va nous permettre de mettre cette énergie ailleurs . Car l’une des premières sources d’épuisement, ce sont toutes ces stratégies d’évitement que nous pouvons mettre en place pour ne pas se confronter directement à ce qui nous fait peur.
Car là où vous porter votre attention, c’est là où vous mettez votre énergie.
L’EVITEMENT EST UNE FUITE EN AVANT QUI NE RESOUD RIEN
Quand vous évitez les situations qui vous posent problème , vous vous enfermez dans un mécanismes de survis qui est limitant .
C’est en quand on essaye de faire différemment qu’on gagne en compétences , en capacité d’adaptation quand on ne tente rien on stagne et tout changement devient encore plus difficile à gérer , il devient inévitablement source d’inconfort .
En étant accompagné par , un coach ou un thérapeute , cela permet d’être guidé pour identifier un premier pallier à franchir , pour entrainer progressivement sa capacité à évoluer , sa capacité d’adaptation ce qui permet aussi, de gagner en confiance.
LE LIEN ENTRE LES DEUX
Le déni et l’évitement sont tous deux des mécanismes de défense et de survis.
Ils existent car, à un moment donné de votre existence, il y a eu nécessité de se protéger et par la suite , on peut rester en « mode survis » , sans s’en rendre compte, si vous n’apprenez pas une autre façon de gérer les situations anxiogènes.
Que ce soit au cabinet à Périgueux ou par téléphone , il est tout à fait possible de faire un suivi dans cette optique afin de gagner en liberté d’action et de sortir de votre mode de survie qu’il soit relié ou non à une addiction.
Car l’addiction peut servir de « béquille » quand il est difficile de faire face à ses émotions ou certaines situations.